Google et Meta : la bataille des lunettes de réalité augmentée
Lors de sa conférence Google I/O, Google a dévoilé plus de détails sur sa plateforme de réalité mixte Android XR et donné de nouvelles informations sur ses lunettes de réalité augmentée. Pendant ce temps, Meta travaille sur un projet similaire. Quelles sont les différences entre les deux géants de la technologie ?
Une nouvelle génération de lunettes de réalité augmentée
La prochaine révolution technologique pourrait bien être incarnée par des lunettes de réalité augmentée. Souvenez-vous des Google Glass, sorties il y a 14 ans. Malgré leur échec retentissant, ces lunettes ont marqué l’histoire. La nouvelle génération de lunettes de réalité augmentée promet d’être très différente. Meta travaille sur son projet Orion, dévoilé en septembre dernier, tandis que Google prépare quelque chose de similaire.
Le mois dernier, Google a dévoilé un premier aperçu de son prototype de lunettes. Lors de la conférence Google I/O, la firme a présenté plus d’informations sur les lunettes, ainsi que sur sa plateforme Android XR développée en collaboration avec Samsung. Cette plateforme sera utilisée à la fois pour les casques de réalité mixte et les lunettes de réalité augmentée.
Des lunettes pilotées par l’intelligence artificielle
Les futures lunettes de Google, qui n’ont pas encore de nom, seront équipées d’une caméra et de microphones pour permettre à l’intelligence artificielle Gemini de voir et d’entendre le monde. Ces lunettes seront entièrement pilotées par l’IA. Elles disposeront de haut-parleurs pour écouter les réponses de l’IA, écouter de la musique ou passer des appels. De plus, elles auront un affichage dans des lunettes transparentes, avec la possibilité d’ajouter des verres correcteurs. Cet affichage sera optionnel, permettant ainsi d’utiliser la même plateforme pour des lunettes connectées simples, comme les Ray-Ban de Meta.
Google a démontré en direct les capacités de ces lunettes lors de sa conférence. Malgré quelques dysfonctionnements en cours de démonstration, les lunettes ont montré leur potentiel avec la réception et l’envoi de SMS, l’identification d’images, ou encore la traduction automatique de langues étrangères. La concurrence principale aux lunettes de Google sera le projet Orion de Meta. Visuellement similaires, ces deux projets se distinguent par leur approche technique.
Différences techniques et matérielles
Concernant le fonctionnement, les deux projets seront très différents. Les lunettes de Google seront connectées au smartphone pour le calcul de la puissance, offrant un accès direct aux applications mobiles. En revanche, les lunettes de Meta s’appuieront sur un boîtier séparé, connecté sans fil, limitant ainsi l’accès aux données du smartphone. Google envisage une gamme de produits plus diversifiée, allant des simples lunettes connectées aux casques de réalité augmentée, tandis que Meta mise sur son écosystème déjà bien établi avec ses casques Meta Quest.
Contrairement aux Google Glass, ces nouvelles lunettes sont conçues pour le grand public. Android XR devrait être lancé cette année avec le casque de réalité mixte de Samsung, mais aucune date de sortie ni prix n’ont encore été annoncés pour les lunettes de Google ou de Meta.
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La nouvelle tendance du télétravail : travailler depuis l’étranger
Une nouvelle manière de concilier travail et voyage
Le télétravail est devenu une pratique de plus en plus répandue, notamment depuis la pandémie de Covid-19. Mais une tendance émerge de plus en plus : travailler depuis l’étranger. En effet, de nombreux travailleurs profitent de cette liberté offerte par le télétravail pour s’installer temporairement dans un autre pays et allier travail et découverte.
Les avantages du télétravail à l’étranger
Travailler depuis l’étranger présente de nombreux avantages. Tout d’abord, cela permet de découvrir de nouvelles cultures, de s’ouvrir à d’autres modes de vie et de s’enrichir personnellement. Ensuite, cela offre la possibilité de travailler dans un environnement stimulant et inspirant, propice à la créativité et à la productivité. Enfin, cela permet de concilier vie professionnelle et vie personnelle de manière plus harmonieuse, en évitant les contraintes liées au travail en présentiel.
Les défis à relever
Travailler depuis l’étranger n’est pas sans défis. Il faut notamment s’adapter à un nouvel environnement de travail, parfois moins confortable que celui que l’on a chez soi. Il faut également faire face à des décalages horaires qui peuvent compliquer la communication avec ses collègues. Enfin, il est important de respecter les législations en vigueur dans le pays où l’on se trouve, notamment en ce qui concerne le visa de travail.
Les destinations prisées par les travailleurs nomades
Certains pays sont particulièrement prisés par les travailleurs nomades. C’est le cas de Bali, en Indonésie, qui offre un cadre de vie idyllique et une communauté dynamique de télétravailleurs. Les îles Canaries, en Espagne, sont également très appréciées pour leur climat agréable et leur qualité de vie. Enfin, le Portugal attire de plus en plus de travailleurs nomades grâce à son coût de la vie abordable et sa qualité de vie.
Conclusion
Travailler depuis l’étranger est une tendance en plein essor qui offre de nombreuses opportunités aux travailleurs nomades. En conciliant travail et voyage, ces derniers peuvent profiter d’une vie professionnelle épanouissante tout en découvrant de nouveaux horizons. Il est donc important de bien préparer son séjour à l’étranger et de s’assurer de respecter les obligations légales en vigueur.
